Lorsque l’on parle désormais de 3D dans le cinéma, chacun a sa propre vision du terme. C’est pourquoi, il est nécessaire de passer du temps à l’étudier, avant de dire n’importe quoi à son sujet.
L’intégration d’animation 3D
Au début, lorsque l’on parlait de 3D, on faisait référence aux personnages fictifs et animations 3D passagère. Grâce à ce procédé, la production peut économiser bien des sommes, en se dispensant de l’aide de certains acrobates et cascadeurs, et de tous les doubleurs. Tout simplement parce qu’il est possible d’user de l’animation 3D, pour reproduire les acrobaties virtuellement, sans que personne ne se blesse, et de les intégrer au film.
Le 3D d’aujourd’hui
De nos jours, lorsque l’on parle de 3D, on parle notamment des lunettes immersives, qui plongent les gens dans un univers parallèle. Grace à cette technologie, il est possible de faire partie de l’univers du film que l’on regarde, et se sentir au cœur de l’action. Toutefois, cette méthode a évolué, de manière à faire en sorte que l’on puisse directement interagir avec ce monde virtuel. Au début, on pouvait juste se communiquer, mais à présent, on peut, tout à fait, tenir des objets, et même manger dans cet environnement, sans que cela n’obstrue la réalité. Mais pour des raisons évidentes, cette technique s’adresse encore exclusivement aux gamings, et s’offre encore un temps de préparation importante, avant de se proposer au cinéma.
De ce fait, lorsque l’on parle de 3D, il faut alors bien déterminer son environnement, avant de lancer des conclusions hâtives, pour éviter de passer pour un inculte.